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Le succès, un coup dur aux ambitions algériennes

«Le succès de la visite de S.M. le Roi aux Etats-Unis, un coup dur aux ambitions algériennes », «Geopolitica.inf», revue italienne

Le succès, un coup dur aux ambitions algériennes
«Le succès de la dernière visite de S.M. le Roi aux Etats-Unis est un coup dur aux ambitions algériennes», écrit «Geopolitica.inf», revue électronique italienne de géopolitique, relations internationales et études stratégiques.

«Le succès de la dernière visite de S.M. le Roi Mohammed VI aux Etats-Unis est un coup dur aux ambitions algériennes», écrit «Geopolitica.inf», revue électronique italienne de géopolitique, relations internationales et études stratégiques.

«Le Maroc semble gagner des points décisifs en sa faveur» après la rencontre entre le Souverain et le Président Barack Obama, précédée, le 18 novembre dernier, de la publication d'une lettre de neuf ambassadeurs américains, qui étaient en poste au Maroc au cours des 32 dernières années, dans laquelle ils plaidaient pour le renforcement des liens d'amitié et de coopération entre le Maroc et les Etats-Unis», ajoute la revue.

«Geopolitica.inf» s'attarde sur le contenu du communiqué conjoint Maroc-USA sanctionnant la rencontre au Sommet entre les deux chefs d'Etat, le 22 novembre dernier à la Maison-Blanche, rappelant notamment le soutien des Etats-Unis au plan d'autonomie des provinces du sud proposé par le Maroc, ainsi que les réformes adoptées par le Royaume dans divers domaines.

«La diplomatie algérienne dirigée par Ramtane Lamamra paie, ainsi, l'instabilité manifeste provoquée par les groupes terroristes installés aux confins entre le Mali et l'Algérie», note la publication, ajoutant que l'Algérie n'a pas su contrôler ces terroristes, «rendant précaire les conditions de sécurité des entreprises occidentales opérant dans la zone notamment dans le secteur de l'extraction du pétrole et du gaz». 

«L'activisme diplomatique d'Alger, au cours des derniers mois, ne lui a pas été de grande utilité même quand elle avait soutenu le polisario qui organisait, à Rome, une conférence internationale pour appuyer les revendications anti-marocaines des sympathisants de ce mouvement», ajoute la revue, observant que «l'échec de cette manifestation a provoqué des réactions au sein même de la presse algérienne».

Ainsi, a-t-elle relevé, le journal algérien «Le Matin» était «très critique dans son édition électronique du 26 novembre dernier, envers Bouteflika et sa politique étrangère, coûteuse et peu concluante». 

«Il est fort plausible que tout ceci débouchera sur des développements significatifs voire retentissants dans les structures politiques dans la région», estime la revue.  

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