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Le Maroc ne peut avancer dans la lutte contre la corruption

● Le Maroc ne peut avancer dans la lutte contre la corruption sans la mise en place d'une stratégie efficiente
● L’ICPC a reçu 3.096 plaintes liées à des cas présumés de corruption entre 2009 et 2013

Le Maroc ne peut avancer dans la lutte contre la corruption
«La lutte contre la corruption implique une volonté politique et des réformes globales touchant l’ensemble des secteurs» c’est ce qu’a souligné le président de l'ICPC. Ph : Hihi

Le Maroc ne peut avancer dans la lutte contre la corruption sans la mise en place d'une stratégie efficiente, a affirmé le président de l'Instance centrale de prévention de la corruption (ICPC), Abdesselam Aboudrar.

Abdesselam Aboudrar, qui était mardi l'invité du Forum de la MAP autour de la thématique «L'ICPC : quelle stratégie pour vaincre la corruption?», a plaidé dans ce sens notamment pour la consécration de la dimension stratégique dans la lutte contre la corruption outre l'actualisation de la politique pénale.

Rappelant les six années d'existence de l'Instance, le président de l'ICPC a souligné que le Maroc a choisi l'ouverture en matière de lutte contre la corruption comme en témoigne la composition de l'ICPC.

3.096 plaintes reçues entre 2009 et 2013

L’Instance centrale de prévention de la corruption (ICPC) a reçu 3096 plaintes liées à des cas présumés de corruption entre 2009 et 2013, a affirmé son président, Abdesselam Aboudrar.

Abdesselam Aboudrar, a d’autre part relevé que le passage de l’ICPC à l’Instance nationale de probité, de prévention et de lutte contre la corruption constituera «un saut qualitatif dans la lutte contre ce fléau».

Et de souligner que la lutte contre la corruption implique une volonté politique et des réformes globales touchant l’ensemble des secteurs. 

   

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