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L’autonomie au Sahara a permis une grande ouverture

● «Le plan d'autonomie au Sahara a permis une grande ouverture en matière des droits de l'Homme dans les provinces du Sud»
● «La proposition d'autonomie au Sahara, un tournant décisif»
● «Le Maroc a le droit de rejeter toute proposition attentant à ses droits», Khalihenna Ould Errachid, président du Corcas au Forum de la MAP

L’autonomie au Sahara a permis une grande ouverture
Le président du Corcas, Khalihenna Ould Errachid, qui était l'invité du Forum de la MAP.

La proposition d'autonomie dans les provinces du sud du Maroc a permis une grande ouverture en matière des droits de l'Homme et de consolidation des libertés dans le cadre des lois marocaines, a indiqué, mardi à Rabat, le président du Conseil Royal Consultatif Des Affaires Sahariennes (Corcas), Khalihenna Ould Errachid.

Suite à la dynamique enclenchée par cette proposition, «la problématique des droits de l'Homme dans les provinces du sud n'est plus posée», a ajouté Ould Errachid, qui était l'invité du Forum de la MAP sur le thème «La gouvernance dans les provinces du Sud et les nouveaux acquis en matière des droits de l'Homme».

Le président du Corcas a souligné que la  décision de S.M. le Roi Mohammed VI de proposer un statut d'autonomie aux provinces du Sud a constitué un «tournant décisif» dans l'histoire de la région, ajoutant que cette décision «historique et audacieuse» a été la première approche politique du genre à apporter des réponses globales à tous les défis posés.

La proposition marocaine, qui a été accueillie favorablement par tous les sahraouis, n'a pas manqué de «surprendre» les observateurs et de changer l'équation de ce conflit artificiel autour du Sahara marocain, a souligné Ould Errachid. 

Ould Errachid, a souligné, que le Maroc a tout le droit de rejeter toute proposition attentant à ses droits, 

Le président du Corcas, a qualifié de «mascarade» toute proposition visant l'élargissement de la mission de la minurso pour englober les droits de l'Homme dans le Sahara marocain.

Ni la minurso, ni l'Onu n'ont le droit d'imposer au Maroc une surveillance internationale des droits de l'Homme dans ses provinces du Sud, a-t-il souligné. 

  

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