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La Bourse de Casablanca en léger repli

La Bourse de Casablanca a ouvert mercredi en léger repli, son indice global Masi cédant 0,10% notamment suite aux pertes accusées lors des premières transactions par le groupe bancaire BMCE Bank, en contraste avec les marchés européens qui débutent sur une note positive.

La Bourse de Casablanca en léger repli
La place boursière casablancaise a ouvert en léger repli, son indice global Masi cédant 0,10% notamment suite aux pertes accusées lors des premières transactions par le groupe bancaire BMCE Bank. Ph : AFP

Au terme des 20 premières minutes d'échanges, le Moroccan All Shares Index (Masi), indice global composé de toutes les valeurs de type action, s'établissait à 9.136,60 points et le Madex (Moroccan Most Active Shares Index), indice compact composé des valeurs cotées au continu, s'affichait à 7.424,24 points (-0,11%).

Cette contre-performance s'explique principalement par les pertes accusées, lors des premières transactions matinales, par le groupe bancaire BMCE Bank et l'assureur CNIA Saada, dont les actions ont perdu respectivement 0,49% et 1,06%, dans un début de séance léthargique au niveau des échanges.

 Le trend morose s'étend jusqu'au géant de la production électrique Jorf Lasfar Energy Company (JLEC), qui a vu son action fléchir de 0,43%, accentuant légèrement sa descente en deçà de son niveau de souscription. 

Pour leur part, les marchés européens avaient entamé la séance dans le vert, encouragés par des résultats d'entreprises globalement meilleurs que prévu et des indicateurs chinois jugés rassurants pour la croissance de l'économie mondiale.

Lors des premières transactions, le CAC 40 parisien gagnait 0,21%. A Francfort, le Dax progressait de 0,47%, alors qu'à Londres, le FTSE prenait 0,10%. De son côté, l'indice paneuropéen EuroStoxx 50 avançait de 0,29%.

Le secteur minier affiche l'une des meilleures performances sectorielles après des données montrant que les importations chinoises ont atteint un pic de six mois en janvier, rompant avec l'opinion commune voulant que la deuxième puissance économique mondiale était plongée dans une phase de ralentissement de son activité. 

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