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La préfecture de police d'Agadir dément les allégations de maltraitance durant la garde à vue

La préfecture de police d'Agadir a démenti les allégations prêtées par certains médias aux deux jeunes filles, arrêtées par la police à Inzegane sur ordre du Parquet compétent pour outrage public à la pudeur, selon lesquelles elles auraient fait l'objet de maltraitance durant leur garde à vue.

La préfecture de police d'Agadir dément les allégations de maltraitance durant la garde à vue
La cour a décidé l’ajournement du procès des deux jeunes filles au 13 juillet.

"L'enquête diligentée par les services administratifs compétents a montré que l'intervention des éléments de la police du district provincial d'Inzegane a été décisive dans cette affaire, puisqu'elle a empêché toute atteinte à la sécurité et à l'ordre publics et tout acte de violence qui aurait résulté du rassemblement d'un grand nombre de citoyens sur les lieux de l'intervention, ce qui a permis de garantir la protection physique des deux filles", a affirmé la préfecture de police d'Agadir, selon un communiqué de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN), transmis lundi à la MAP.

Les procédures menées par les services de police, notamment les déplacements, les constatations et les auditions, se sont déroulées dans le cadre de la loi et sous la supervision du Parquet général compétent, ajoute le communiqué.

S'agissant des allégations de violence verbale, prêtées aux deux intéressées, la même source souligne que "l'enquête n'a pas pu établir l'utilisation de propos offensants ou dégradants par les éléments de police à l'égard des deux filles".

Les policiers "se sont contentés d'enregistrer les dépositions des deux filles dans des procès-verbaux et les ont déférées devant le parquet compétent", conclut la même source.

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