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Travail collectif et mécanismes appropriés

«Le partenariat entre l'Onu et l'UIP requiert un travail collectif pour mettre en place des mécanismes appropriés de mise en application», Mohamed Cheikh Biadillah, qui intervenait en marge des travaux de la 132e Assemblée de l'UIP qui se tiennent à Hanoï

Travail collectif et mécanismes appropriés
Au nom du Parlement du Royaume, Cheikh Biadillah a rappelé de l'intérêt du nouveau programme de développement pour l'après-2015 qui fait suite aux Objectifs du développement pour le Millénaire. Ph : DR

La mise en place d'un partenariat entre l'Organisation des Nations unies et l'Union interparlementaire (UIP) ne requiert pas uniquement une convergence des vues mais également un travail collectif destiné à mettre en place des mécanismes appropriés de mise en application, de suivi et d'évaluation, a souligné, dimanche à Hanoï, le président de la Chambre des conseillers, Mohamed Cheikh Biadillah.

Cheikh Biadillah, qui intervenait en marge des travaux de la 132e Assemblée de l'UIP qui se tiennent du 28 mars au 01 avril 2015 à Hanoï, a souligné que toute approche onusienne en faveur du développement durable ne doit pas se contenter de mettre en exergue la volonté des gouvernements et omettre les avis des autres partenaires en matière de prise de décision, en particulier les Parlements et la société civile.

A l'heure actuelle, le monde est face à un projet onusien qui propose une nouvelle ère de développement avec des finalités prioritaires en faveur d'un développement durable qui serait de nature à supporter l'avenir du la Terre et de l'humanité, a-t-il relevé.

Cheikh Biadillah a, à cet égard, appelé à faire preuve de courage et de beaucoup de sincérité et de crédibilité, ainsi que d'un esprit de solidarité et de consolidation de la confiance entre les pays développés et les pays en développement, ajoutant que le succès de tout projet de développement est tributaire de l'intérêt accordé à ses conditions politiques, économiques et sécuritaires, d'où la nécessité d'une confiance mutuelle, une stabilité, une paix et un bien-être commun.

Cheikh Biadillah, qui a souligné que le message des parlementaires est claire et dont la mission porte notamment sur la législation et le contrôle des politiques publiques, a assuré que ces prérogatives devraient s'aligner avec le nouvelle approche de développement durable.

Au nom du Parlement du Royaume, Cheikh Biadillah a rappelé de l'intérêt du nouveau programme de développement pour l'après-2015 qui fait suite aux Objectifs du développement pour le Millénaire.

«Au Maroc, nous avons appris, grâce à la maturité de notre modèle de développement démocratique, initié par S.M. le Roi Mohammed VI, et à la faveur des bons résultats des programmes de l'Initiative national pour le développement humain, que bon nombre des éléments de la force du développement n'étaient pas pris en compte sur le plan international», a-t-il dit. 

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