Le film «Entre les montagnes noires», de la réalisatrice française Virginie Hoffmann, a remporté samedi le Grand prix de la 3e édition du Festival international du film documentaire de Khouribga.
«Entre les montagnes noires», est un film autobiographique de 52 minutes. La réalisatrice y traite l'histoire de son père qui avait fui les conditions de misère dont il vivait, en Pologne, pour s'installer au nord de la France où il avait travaillé comme mineur.
L'histoire racontée par la réalisation se résume ainsi : «J'ai grandi dans une cité minière du Nord-Pas de Calais qui aujourd'hui se bat pour sa survie. Cet ilot d'un passé glorieux héberge encore des mineurs, souvent issus de l'immigration, qui ont partagé un dur labeur mais également le sens de l'amitié et du respect. Mon père est l'un d'entre eux. En remontant le fil de mon histoire et en fouillant ce passé méconnu, j'ai découvert mes origines et le passé combien courageux de ces combattants solidaires. Et aujourd'hui, leur force est devenue la mienne».
Le prix de la production est revenu à Mohamed Nabil de nationalité allemande pour son film «Rêves de femmes», alors que le prix de la critique a été décerné au film algérien «un nouveau souffle» de la réalisatrice Mouna Midou.
Le film «tout ce que je veux» de l'américaine Michel Midna, s'est vu attribuer les Prix du public et du jury.
Onze films ont été présentés dans le cadre de la compétition officielle du Festival dont la cérémonie d'ouverture, mercredi dernier, à été marquée par un hommage à l'Italie qui a été choisi comme invité d'honneur de cette édition.
«Entre les montagnes noires», est un film autobiographique de 52 minutes. La réalisatrice y traite l'histoire de son père qui avait fui les conditions de misère dont il vivait, en Pologne, pour s'installer au nord de la France où il avait travaillé comme mineur.
L'histoire racontée par la réalisation se résume ainsi : «J'ai grandi dans une cité minière du Nord-Pas de Calais qui aujourd'hui se bat pour sa survie. Cet ilot d'un passé glorieux héberge encore des mineurs, souvent issus de l'immigration, qui ont partagé un dur labeur mais également le sens de l'amitié et du respect. Mon père est l'un d'entre eux. En remontant le fil de mon histoire et en fouillant ce passé méconnu, j'ai découvert mes origines et le passé combien courageux de ces combattants solidaires. Et aujourd'hui, leur force est devenue la mienne».
Le prix de la production est revenu à Mohamed Nabil de nationalité allemande pour son film «Rêves de femmes», alors que le prix de la critique a été décerné au film algérien «un nouveau souffle» de la réalisatrice Mouna Midou.
Le film «tout ce que je veux» de l'américaine Michel Midna, s'est vu attribuer les Prix du public et du jury.
Onze films ont été présentés dans le cadre de la compétition officielle du Festival dont la cérémonie d'ouverture, mercredi dernier, à été marquée par un hommage à l'Italie qui a été choisi comme invité d'honneur de cette édition.