Menu
Search
Vendredi 19 Décembre 2025
S'abonner
close
Vendredi 19 Décembre 2025
Menu
Search

«Pas de paix sans le départ de Bachar Al-Assad»

«Washington va, clairement, signifier ce constat au nouvel envoyé spécial de l'Onu et de la Ligue arabe pour la Syrie, Lakhdra Brahimi»

«Pas de paix sans le départ de Bachar Al-Assad»
«Il n'y aura pas de paix en Syrie sans le départ de Bachar Al-Assad», a affirmé la porte-parole du Département d'Etat, Victoria Nuland. (Photo : www.flickr.com)

Le départ du président syrien contesté Bachar Al-Assad reste une condition sine qua non pour désamorcer la crise en Syrie et rétablir la paix dans ce pays en proie à une violence meurtrière depuis plus d'une année, a estimé lundi le département d'Etat américain.

«Il n'y aura pas de paix en Syrie sans le départ de Bachar Al-Assad», a affirmé la porte-parole du Département d'Etat, Victoria Nuland, lors de son point de presse quotidien.

La porte-parole a fait savoir, à cet égard, que Washington va «clairement» signifier ce constat au nouvel envoyé spécial de l'Onu et de la Ligue arabe pour la Syrie, Lakhdra Brahimi.

Les Etats-Unis, a-t-elle poursuivi, restent «relativement sceptiques» quant au succès d'une éventuelle action au niveau du Conseil de sécurité de l'Onu pour désamorcer cette crise, soulignant que son pays poursuivra ses efforts conjoints avec d'autres pays de la région pour promouvoir une transition politique en Syrie.

Vendredi dernier, le porte-parole adjoint de la Maison-Blanche, Josh Earnest, avait appelé l'Onu à préciser davantage le mandat et les prérogatives du nouvel médiateur pour la Syrie, tout en réitérant la réticence de Washington quant à la volonté du régime de Bachar Al-Assad à coopérer de bonne foie avec la communauté internationale.

Lisez nos e-Papers