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Les opportunités d'investissement au Maroc ont été exposées, jeudi à Paris, dans le cadre du 7e Salon «Planète PME», un espace 100% dédié au commerce international où l'économie marocaine est à l'honneur cette année.
La participation marocaine à ce rendez-vous professionnel destiné aux chefs d'entreprise et responsables export, à la recherche d'informations opérationnelles et de contacts marchés, s'inscrit dans le cadre du développement de partenariats commerciaux avec la France, selon ses initiateurs.
Supervisée par la Confédération générale des entreprises marocaines (CGEM), le Centre régional d'investissement de Casablanca, l'Agence marocaine de développement des investissements (AMDI), la Chambre française de commerce et d'industrie au Maroc (CFCIM) et le groupe Banque Populaire, cette participation leur permet de «venir à la rencontre des entreprises hexagonales pour leur présenter des opportunités d'affaires ainsi que des projets collaboratifs».
Outre les contacts professionnels sur le pavillon marocain, les initiateurs ont convié les entrepreneurs français à une conférence sur les opportunités d'investissement au Maroc, où l'accent a été notamment mis sur la dynamique de développement que connaît le Royaume, à la faveur des réformes économiques et commerciales engagées, et la diversification croissante de son économie qui en font un partenaire commercial de première importance pour les investisseurs hexagonaux.
Les conférenciers ont mis en avant le recentrage de l'économie vers les secteurs à fort potentiel ou ceux dans lesquels le Maroc dispose d'avantages compétitifs, à travers la mise en place de plans sectoriels, ce qui représente autant d'opportunités d'investissement.
Ils ont cité, entre autres, le pacte Emergence pour l'industrie, qui a identifié six «métiers mondiaux» du Maroc (automobile, aéronautique, électronique, offshoring, textile/cuir et agroalimentaire), le plan Azur pour le tourisme, le Plan Maroc vert pour l'agriculture et le plan solaire.
Pour Charafa Chebani, responsable du Centre d'études et de recherches économiques à la CFCIM, l'impact de cette dynamique est fortement ressenti chez les entrepreneurs français qui sont nombreux à investir au Maroc, encouragés notamment par l'amélioration du climat des affaires, les facilités accordées et la modernisation de l'infrastructure, outre les avantages en terme de proximité géographique.
En témoigne, selon elle, le nombre des filiales hexagonales implantées dans le Royaume, estimées à environ 750 unités, employant 105.000 personnes.
De même, elle fait état d'une évolution de plus de 40% des IDE français sur le marché marocain, entre 2006 et 2009. Ils se chiffraient à 12 milliards de dirhams en 2009 et à 19 milliards de dirhams en 2010.
Soutenu par le gouvernement français, le salon «Planète PME» est organisé par la Confédération générale du patronat des petites et moyennes entreprises en France (CGPME) qui «se mobilise sur des pays à forte croissance en 2011 pour aider les entreprises à trouver de nouveaux débouchés».
Ce rendez-vous incontournable des chefs d'entreprise, avec près de 10.000 visiteurs, permet aux PME qui «ne trouvent pas de nouveaux marchés en France, de découvrir de nouvelles sources de développement à l'étranger», selon la CGPME.
La participation marocaine à ce rendez-vous professionnel destiné aux chefs d'entreprise et responsables export, à la recherche d'informations opérationnelles et de contacts marchés, s'inscrit dans le cadre du développement de partenariats commerciaux avec la France, selon ses initiateurs.
Supervisée par la Confédération générale des entreprises marocaines (CGEM), le Centre régional d'investissement de Casablanca, l'Agence marocaine de développement des investissements (AMDI), la Chambre française de commerce et d'industrie au Maroc (CFCIM) et le groupe Banque Populaire, cette participation leur permet de «venir à la rencontre des entreprises hexagonales pour leur présenter des opportunités d'affaires ainsi que des projets collaboratifs».
Outre les contacts professionnels sur le pavillon marocain, les initiateurs ont convié les entrepreneurs français à une conférence sur les opportunités d'investissement au Maroc, où l'accent a été notamment mis sur la dynamique de développement que connaît le Royaume, à la faveur des réformes économiques et commerciales engagées, et la diversification croissante de son économie qui en font un partenaire commercial de première importance pour les investisseurs hexagonaux.
Les conférenciers ont mis en avant le recentrage de l'économie vers les secteurs à fort potentiel ou ceux dans lesquels le Maroc dispose d'avantages compétitifs, à travers la mise en place de plans sectoriels, ce qui représente autant d'opportunités d'investissement.
Ils ont cité, entre autres, le pacte Emergence pour l'industrie, qui a identifié six «métiers mondiaux» du Maroc (automobile, aéronautique, électronique, offshoring, textile/cuir et agroalimentaire), le plan Azur pour le tourisme, le Plan Maroc vert pour l'agriculture et le plan solaire.
Pour Charafa Chebani, responsable du Centre d'études et de recherches économiques à la CFCIM, l'impact de cette dynamique est fortement ressenti chez les entrepreneurs français qui sont nombreux à investir au Maroc, encouragés notamment par l'amélioration du climat des affaires, les facilités accordées et la modernisation de l'infrastructure, outre les avantages en terme de proximité géographique.
En témoigne, selon elle, le nombre des filiales hexagonales implantées dans le Royaume, estimées à environ 750 unités, employant 105.000 personnes.
De même, elle fait état d'une évolution de plus de 40% des IDE français sur le marché marocain, entre 2006 et 2009. Ils se chiffraient à 12 milliards de dirhams en 2009 et à 19 milliards de dirhams en 2010.
Soutenu par le gouvernement français, le salon «Planète PME» est organisé par la Confédération générale du patronat des petites et moyennes entreprises en France (CGPME) qui «se mobilise sur des pays à forte croissance en 2011 pour aider les entreprises à trouver de nouveaux débouchés».
Ce rendez-vous incontournable des chefs d'entreprise, avec près de 10.000 visiteurs, permet aux PME qui «ne trouvent pas de nouveaux marchés en France, de découvrir de nouvelles sources de développement à l'étranger», selon la CGPME.
