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Hommage à SAR la Princesse Lalla Meryem

«L'Unicef rend hommage à SAR la Princesse Lalla Meryem pour son engagement inébranlable en faveur de l'enfance»

Hommage à SAR la Princesse Lalla Meryem
La directrice de l’Unicef pour la région Mena, Maria Calivis, s’exprimant, à l’ouverture du 14e Congrès national des droits de l’enfant à Skhirat. (Photo : MAP)

La directrice de l'Unicef pour la région Mena, Maria Calivis, a rendu hommage mardi à SAR la Princesse Lalla Meryem pour son «engagement personnel inébranlable» pour améliorer les conditions de l'enfant et promouvoir ses droits.

S'exprimant à l'ouverture du 14e Congrès national des droits de l'enfant, tenu à Skhirat sous le Haut patronage de S.M. le Roi Mohammed VI et la présidence effective de SAR la Princesse Lalla Meryem, Maria Calivis a salué la gouvernement marocain «pour sa volonté à maintenir l'équité au cœur des décisions politiques».

La cérémonie d'ouverture du congrès s'est tenue sous la présidence de SAR la Princesse Lalla Meryem, présidente de l'Observatoire national des droits de l'enfant.

Pour Maria Calivis, «une équité renforcée envers les enfants n'est pas seulement une priorité régionale, mais également une priorité globale». Il est donc impératif, selon cette responsable internationale, de renforcer les partenariats et la coopération Sud-Sud entre les agences internationales, les gouvernements et les centres de recherche. Elle a mis l'accent, dans le même ordre d'idée, sur le besoin de disposer de données désagrégées à utiliser pour l'élaboration des politiques destinées à l'enfant, de cerner les déterminants sociaux des disparités touchant l'enfance et de renforcer le lien entre l'analyse des inégalités constatées et les politiques sociales en la matière.

La santé mentale, un des points clés à l'ordre du jour du congrès, a occupé une large place dans l'intervention du directeur de l'Espace méditerranéen de l'adolescent, Marcel Rufo. «La promotion de la santé mentale requiert une action plurisectorielle associant plusieurs acteurs publics», a-t-il souligné, relevant l'urgence d'améliorer les politiques de prévention et de traitement en s'inspirant des bonnes pratiques. Selon lui, l'objectif aujourd'hui est de faire le point sur la situation de la santé mentale de l'enfant au Maroc sur le plan épidémiologique, de l'offre de soins et de prise en charge et d'esquisser ensemble une stratégie d'action englobant la promotion d'une part et la prévention de l'autre.

Sur un autre registre, le président de la commission déontologique de la Fédération des journalistes et président des anciens parlementaires européens, Manolo Nunez Encabo, les nouveaux médias ont un pouvoir d'influence sur la démocratie, l'éducation et la culture.

L'utilisation à plus grande échelle des nouvelles technologies ainsi que l'exposition régulière de l'enfant aux nouveaux médias imposent à l'ensemble des communautés des défis d'un genre nouveau, a-t-il estimé. Pour les protéger des contenus dangereux des nouveaux médias, éducation et prévention doivent aller de pair, a-t-il suggéré.

Mariane Rodesch, présidente du Comité des droits de l'enfant au Luxembourg Ombudsman, a traité pour sa part des mécanismes de protection de l'enfant. A cet égard, elle n'a pas manqué de se féliciter de la solidité des structures familiales au Maroc, elles-mêmes protectrices naturelles des enfants «contre les revers de la médaille des développements technologiques». 

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