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Rachid Boumalek à la conquête de la ceinture mondiale

Le Marocain Rachid Boumalek affrontera le Vénézuélien Mondoro Amanial, pour le titre de champion du monde (72 kg) samedi à Rabat (20 h). C’est à la salle Sittel Al Aissaoui que se déroulera ce duel organisé conjointement par la Ligue du Centre de kick-boxing et la tente Aktawasol international (EAU).

Rachid Boumalek à la conquête de la ceinture mondiale
Rachid Boumalek est déterminé à remporter le titre mondial, à Rabat. Ph. DR

Le combat pour la ceinture mondiale poids moyens de boxe arabe opposera, samedi à Rabat, le Marocain Rachid Boumalek et le Vénézuélien Mondoro Amanial. Boumalek compte remporter le titre malgré les difficultés et au vu du calibre du détenteur de la ceinture qualifié de «dur» par le président de la Fédération internationale de boxe arabe, Hédi Sdiri. D’autres combats professionnels sont au programme de ce championnat organisé à l'occasion de la Fête de la Jeunesse, auxquels participeront d’autres Marocains en poids légers (58 kg), mi-moyens (70 kg), moyens (72 kg) et lourds (100 kg).

Après avoir donné un aperçu sur la Fédération internationale de boxe arabe, le président, Hédi Sdiri, a dévoilé les grands rendez-vous de l’année, dont un Championnat du monde que le Maroc abritera au mois de mars prochain. Il devra réunir 62 des meilleurs boxeurs au monde pour le titre de «Champion des Champions». Une manifestation qui durera 15 jours et qui verra la présence des personnalités mondiales des affaires, du monde du sport, de l’art et de la culture ainsi qu’une couverture médiatique conséquente qui «devra contribuer à la promotion de l’image du Maroc», a-t-il indiqué.

Trois pays ont été choisis pour abriter, à tour de rôle dans l’année, ce circuit, à savoir les Émirats arabes unis (novembre), l'Égypte (février) et le Maroc (mars). Le président confia que le Maroc pourrait abriter le Centre international de formation de boxe, un choix dicté, dit-il, par deux facteurs : le niveau des cadres techniques marocains et la quiétude dont bénéficie le Royaume. M. Sdiri a regretté la «frilosité» des sponsors dans les pays arabes : «Tout le monde nous aide sauf le milieu des affaires. Nous ne demandons pas l’aumône et nous sommes contre le donnant-donnant.

On doit le faire pour le sport». Sdiri s’est félicité néanmoins de l’aide apportée par des institutionnels au Maroc comme Le ministère de la Jeunesse et des sports et la commune de Youssoufia à Rabat. Justement, cette dernière a accepté d’abriter ce gala, en offrant cette même salle où Khalid Habchane a remporté, au mois de mai dernier, le titre de Champion d’Afrique des moyens, par jet d’éponge du détenteur de la ceinture, le Ghanéen Daniel Jesuit.

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