De prime à bord, Meskout a flingué ses détracteurs en indiquant que depuis son élection à la tête de la Fédération, il a été victime de plusieurs tentatives de déstabilisation sans aller jusqu’à dévoiler les noms de ceux qui l’on combattus.
«Ceux qui s’opposent à la transparence ont tout mis en place pour m’évincer uniquement parce qu’ils veulent revenir à la tête de la fédération», a-t-il martelé. Meskout qui a endossé l’habit de la victime a dénoncé également ce qu’il a appelé les «manigances de ces détracteurs pour l’empêcher d’être élu à la tête de la Confédération africaine des luttes associées et lors de sa candidature pour intégrer le comité exécutif de la United World Wrestling». Pour étayer ces propos, il a avancé que certains congressistes ont reçu des SMS venant de ses opposants pour dire que j’ai contracté le virus Ebola », a-t-il révélé. Pour finir, il a précisé qu’il a porté plainte et la justice dira son mot là-dessus. Le président de la FRMLA s’est même targué d’avoir participé à maintenir la lutte comme discipline olympique avec l’appui de Nawal El Moutawakil, premier vice-président du CIO.
Faire décoller la discipline
Meskout a également mis l’accent lors de ce point de presse sur les efforts consentis par le bureau actuel pour faire développer la lutte dans notre pays. «Notre réel souci est de faire pérenniser la pratique de ce sport dans notre pays en préparant des champions. Nous mènerons à bien le projet que nous avons mis en place. Nous défendrons l'intérêt de la lutte jusqu'au bout et nous continuerons à travailler avec le même état d'esprit», a-t-il conclu.