Elle avait été hospitalisée depuis vendredi pour une insuffisance respiratoire et placée en coma artificiel le week-end. «Elle est décédée à deux heures du matin à l'hôpital Georges-Pompidou», a précisé une source médicale.
L'ex-Première dame de France avait créé il y a près de 25 ans «France Libertés-Fondation Danielle Mitterrand», une ONG dont l'action était centrée sur l'aide à l'accès à l'eau pour tous et le soutien des causes des minorités.
A ce titre, ‘France Libertés' avait apporté son soutien aux séparatistes du polisario, avant de les épingler, dans les années 2000, sur le détournement de l'aide humanitaire destinée aux populations séquestrées dans les camps de Tindouf, la tragédie des enfants enlevés et séquestrés par le polisario et les tortures et les exécutions des prisonniers marocains dans les centres de détention du polisario.
La disparition de Danielle Mitterrand a suscité une grande émotion. A gauche, comme à droite, la classe politique a rendu un hommage appuyé à la défunte. Le Président Nicolas Sarkozy a salué «le parcours exemplaire d'une femme qui n'abdiqua jamais ses valeurs et poursuivi jusqu'au bout de ses forces les combats qu'elle jugeait justes».
«A côté d'un destin exceptionnel, elle a su faire preuve d'une indépendance d'esprit, d'une volonté et d'une dignité exceptionnelle», a ajouté le chef de l'Etat français dans un communiqué rendu public par l'Elysée.
François Hollande, le candidat socialiste à la présidentielle de 2012, a lui salué «une grande dame, engagée très jeune dans la résistance, qui avait mis son courage et son immense énergie au service de la cause qui valait pour elle, celle des libertés».
«Elle a terminé sa vie en militante sur la grande question de l'accès à l'eau et jusqu'à son dernier souffle, elle a porté des projets permettant le partage de cette ressource vitale», a ajouté Hollande dans une déclaration à l'Agence France Presse.
L'ex-Première dame de France avait créé il y a près de 25 ans «France Libertés-Fondation Danielle Mitterrand», une ONG dont l'action était centrée sur l'aide à l'accès à l'eau pour tous et le soutien des causes des minorités.
A ce titre, ‘France Libertés' avait apporté son soutien aux séparatistes du polisario, avant de les épingler, dans les années 2000, sur le détournement de l'aide humanitaire destinée aux populations séquestrées dans les camps de Tindouf, la tragédie des enfants enlevés et séquestrés par le polisario et les tortures et les exécutions des prisonniers marocains dans les centres de détention du polisario.
La disparition de Danielle Mitterrand a suscité une grande émotion. A gauche, comme à droite, la classe politique a rendu un hommage appuyé à la défunte. Le Président Nicolas Sarkozy a salué «le parcours exemplaire d'une femme qui n'abdiqua jamais ses valeurs et poursuivi jusqu'au bout de ses forces les combats qu'elle jugeait justes».
«A côté d'un destin exceptionnel, elle a su faire preuve d'une indépendance d'esprit, d'une volonté et d'une dignité exceptionnelle», a ajouté le chef de l'Etat français dans un communiqué rendu public par l'Elysée.
François Hollande, le candidat socialiste à la présidentielle de 2012, a lui salué «une grande dame, engagée très jeune dans la résistance, qui avait mis son courage et son immense énergie au service de la cause qui valait pour elle, celle des libertés».
«Elle a terminé sa vie en militante sur la grande question de l'accès à l'eau et jusqu'à son dernier souffle, elle a porté des projets permettant le partage de cette ressource vitale», a ajouté Hollande dans une déclaration à l'Agence France Presse.
