Rien ne semble arrêter les ambitions du groupe Palmeraie Holding dans l'hôtellerie et l'immobilier du grand luxe. Ni la crise économique et financière internationale, ni la crise géopolitique dans la région et son impact sur la scène politique et économique nationale n'ont freiné la dynamique des investissements de ce groupe précurseur de l'immobilier Resort au Maroc. Certes, la demande des produits immobiliers de luxe au Maroc s'est réduite comme une peau de chagrin, n'empêche que la réalisation des travaux des différents projets se poursuit et la commercialisation bat son plein, au fur et à mesure, avec comme force de frappe une équipe commerciale appuyée par des bureaux de vente à Casablanca, Marrakech et Paris depuis un an et demi. Pour ne citer que le projet des Jardins de l'Atlas à Marrakech ayant nécessité un investissement de 2,5 milliards de dirhams, il est globalement à 75% d'avancement des travaux. S'étendant sur 150 ha, il se dévoile comme un espace entièrement intégré qui comprend une offre résidentielle composée de villas, d'appartements et de villas pavillonnaires. Plus précisément, à sa livraison, ce projet devra compter 1 030 appartements de très haut standing, 333 villas, deux hôtels de luxe, quatre villages thématiques, une parcelle RIT (résidence immobilière touristique) avec 46 villas et un golf 18 trous.
Ce n'est pas tout, un autre projet est en cours de réalisation à Marrakech. Il s'agit des Jardins de la palmeraie III dont les composantes (villas et appartements) associent les concepts architecturaux du groupe et la beauté sauvage des lieux. À date d'aujourd'hui, la construction des appartements (53 à 113 m²) est achevée, alors que celle des riads est en cours. La fin des travaux est pour bientôt. S'agissant des villas de très haut standing, construites sur des terrains de 5 000 m², elles sont livrées semi-finies pour offrir du sur mesure au client. Leur prix avoisine les 2,5 millions d'euros, pourtant, elles trouvent preneur. À en croire les commerciaux lors d'une visite du site, 50% des villas sont déjà vendues. Pour dire que la clientèle du grand luxe existe bel et bien. Ce sont surtout des Marocains, des Arabes des pays du golf et des Africains qui se rabattent sur ce type de produits, surtout que Palmeraie Développement a un véritable atout dans sa manche.
Outre la réputation du groupe qui développe des projets portant un art de vivre combinant espaces verts, commodités et prestations architecturales, la rareté du foncier dans la Palmeraie est un point fort qui le distingue de tout autre acteur de l'immobilier de luxe. En d'autres mots, il n'est plus question de développer d'autres projets de Resort dans cette zone huppée de Marrakech. D'ailleurs, même à Casablanca, les produits du groupe sont bien prisés. Pour preuve, sur les 221 villas de style hispano-mauresque construites sur 230 ha (première tranche), il ne reste que 30 unités à vendre. Le management ne s'en cache pas, le rythme de vente est en décélération depuis 2010. Pourtant, le secteur du luxe a subi de plein fouet l'effet boule de neige de la crise internationale. Même les banques, qui ont développé une certaine frilosité vis-à-vis du secteur, ont commencé à limiter leurs engagements par client. La remontée du coût du risque et de l'argent à cause de l'illiquidité du marché monétaire a ajouté son grain de sel.
Ce n'est pas tout, un autre projet est en cours de réalisation à Marrakech. Il s'agit des Jardins de la palmeraie III dont les composantes (villas et appartements) associent les concepts architecturaux du groupe et la beauté sauvage des lieux. À date d'aujourd'hui, la construction des appartements (53 à 113 m²) est achevée, alors que celle des riads est en cours. La fin des travaux est pour bientôt. S'agissant des villas de très haut standing, construites sur des terrains de 5 000 m², elles sont livrées semi-finies pour offrir du sur mesure au client. Leur prix avoisine les 2,5 millions d'euros, pourtant, elles trouvent preneur. À en croire les commerciaux lors d'une visite du site, 50% des villas sont déjà vendues. Pour dire que la clientèle du grand luxe existe bel et bien. Ce sont surtout des Marocains, des Arabes des pays du golf et des Africains qui se rabattent sur ce type de produits, surtout que Palmeraie Développement a un véritable atout dans sa manche.
Outre la réputation du groupe qui développe des projets portant un art de vivre combinant espaces verts, commodités et prestations architecturales, la rareté du foncier dans la Palmeraie est un point fort qui le distingue de tout autre acteur de l'immobilier de luxe. En d'autres mots, il n'est plus question de développer d'autres projets de Resort dans cette zone huppée de Marrakech. D'ailleurs, même à Casablanca, les produits du groupe sont bien prisés. Pour preuve, sur les 221 villas de style hispano-mauresque construites sur 230 ha (première tranche), il ne reste que 30 unités à vendre. Le management ne s'en cache pas, le rythme de vente est en décélération depuis 2010. Pourtant, le secteur du luxe a subi de plein fouet l'effet boule de neige de la crise internationale. Même les banques, qui ont développé une certaine frilosité vis-à-vis du secteur, ont commencé à limiter leurs engagements par client. La remontée du coût du risque et de l'argent à cause de l'illiquidité du marché monétaire a ajouté son grain de sel.
