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L'ambassadeur du Maroc en Italie, Hassan Abouyoub, a plaidé pour l'instauration d'un «partenariat véritable et institutionnalisé» entre les deux rives de la Méditerranée.
Dans un entretien à l'agence italienne «Ansamed», le diplomate a mis l'accent, à ce propos, sur la nécessité de dépasser «l'approche administrative et l'abondante rhétorique de Bruxelles», au regard des défis communs auxquels fait face cette région, notamment la création de 80 millions d'emplois dans les 10 à 15 ans à venir.
C'est en Méditerranée que se joue le futur de l'Europe et du monde arabe, a-t-il notamment affirmé.
Pour l'ambassadeur, les grands changements sociaux intervenus récemment côté sud de la Méditerranée et la crise économique qui prévaut côté nord où, en outre, la croissance démographique enregistre un recul, doivent être appréhendés comme une «extraordinaire opportunité pour construire un nouveau modèle de relations en Méditerranée».
S'agissant des relations entre l'Italie et le Maroc, Abouyoub a observé que celle-ci sont en deçà du niveau auquel elles devraient se situer, se disant cependant confiant quant aux perspectives de leur développement grâce notamment à l'engagement pris par le nouveau gouvernement de Mario Monti d'accorder une grande priorité à la Méditerranée.
Le diplomate a souligné, à ce sujet, la nécessité de dépasser le cadre qui régissait jusqu'à présent ces relations et qui ne prévoit aucun mécanisme de concertation entre les entreprises, les sociétés civiles, les universités et les entités culturelles des deux pays.
Il a de même exprimé la conviction que le Maroc peut constituer un «interlocuteur stratégique pour l'Italie dans la région du Maghreb et de la Méditerranée». De son côté, l'Italie, «de par sa position géographique, ses structures économiques et sociales, sa culture et la mentalité qui y règne, parait comme le pays européen le plus à même de comprendre les dynamiques en cours dans le sud de la Méditerranée», a-t-il affirmé.
Et de souligner que les deux pays peuvent «constituer un véritable leadership pour la mise en place d'un nouveau modèle de rapports entre les deux rives de la Méditerranée».
Dans un entretien à l'agence italienne «Ansamed», le diplomate a mis l'accent, à ce propos, sur la nécessité de dépasser «l'approche administrative et l'abondante rhétorique de Bruxelles», au regard des défis communs auxquels fait face cette région, notamment la création de 80 millions d'emplois dans les 10 à 15 ans à venir.
C'est en Méditerranée que se joue le futur de l'Europe et du monde arabe, a-t-il notamment affirmé.
Pour l'ambassadeur, les grands changements sociaux intervenus récemment côté sud de la Méditerranée et la crise économique qui prévaut côté nord où, en outre, la croissance démographique enregistre un recul, doivent être appréhendés comme une «extraordinaire opportunité pour construire un nouveau modèle de relations en Méditerranée».
S'agissant des relations entre l'Italie et le Maroc, Abouyoub a observé que celle-ci sont en deçà du niveau auquel elles devraient se situer, se disant cependant confiant quant aux perspectives de leur développement grâce notamment à l'engagement pris par le nouveau gouvernement de Mario Monti d'accorder une grande priorité à la Méditerranée.
Le diplomate a souligné, à ce sujet, la nécessité de dépasser le cadre qui régissait jusqu'à présent ces relations et qui ne prévoit aucun mécanisme de concertation entre les entreprises, les sociétés civiles, les universités et les entités culturelles des deux pays.
Il a de même exprimé la conviction que le Maroc peut constituer un «interlocuteur stratégique pour l'Italie dans la région du Maghreb et de la Méditerranée». De son côté, l'Italie, «de par sa position géographique, ses structures économiques et sociales, sa culture et la mentalité qui y règne, parait comme le pays européen le plus à même de comprendre les dynamiques en cours dans le sud de la Méditerranée», a-t-il affirmé.
Et de souligner que les deux pays peuvent «constituer un véritable leadership pour la mise en place d'un nouveau modèle de rapports entre les deux rives de la Méditerranée».
