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L'Association «Jossour forum des femmes marocaines» a plaidé pour la mise en œuvre de la disposition constitutionnelle relative au principe de la parité ainsi que pour une meilleure représentativité des femmes afin qu'elles occupent la place qui leur échoit au sein des institutions élues.
Dans un communiqué parvenu à la MAP, l'Association FFM a souligné que le mode de scrutin, qui sera adopté, doit refléter la volonté du législateur marocain de réaliser le principe de la parité, estimant que le mode du scrutin de liste est le plus adéquat pour assurer la représentativité des femmes.
S'il est nécessaire de recourir au quota, celui-ci doit être fondé sur principe de la parité qui signifie que la moitié des sièges à la chambre des représentants et à la chambre des conseillers doit revenir aux femmes, souligne l'association.
Pour cette association, la parité est la réponse idoine aux revendications du mouvement féminin, reconnaissant que les militantes sont toutefois conscientes de la difficulté d'application de ces mesures lors des prochaines élections.
Par railleurs, l'Association FFM a suggéré de garder, dans le code électoral, la liste nationale composée exclusivement des femmes avec au moins 25% du total des sièges de la première chambre ainsi que l'obligation pour les partis politiques de présenter 5% de femmes dans les têtes de listes électorales locales.
Dans un communiqué parvenu à la MAP, l'Association FFM a souligné que le mode de scrutin, qui sera adopté, doit refléter la volonté du législateur marocain de réaliser le principe de la parité, estimant que le mode du scrutin de liste est le plus adéquat pour assurer la représentativité des femmes.
S'il est nécessaire de recourir au quota, celui-ci doit être fondé sur principe de la parité qui signifie que la moitié des sièges à la chambre des représentants et à la chambre des conseillers doit revenir aux femmes, souligne l'association.
Pour cette association, la parité est la réponse idoine aux revendications du mouvement féminin, reconnaissant que les militantes sont toutefois conscientes de la difficulté d'application de ces mesures lors des prochaines élections.
Par railleurs, l'Association FFM a suggéré de garder, dans le code électoral, la liste nationale composée exclusivement des femmes avec au moins 25% du total des sièges de la première chambre ainsi que l'obligation pour les partis politiques de présenter 5% de femmes dans les têtes de listes électorales locales.
